Les prix du blé et du maïs subissent de nouveau la pression de l’eurodollar et les incertitudes commerciales.
À la tête du spécialiste du relevage avant Laforge, où il a pris la suite de son père, Hervé Defrancq, passé par une école de commerce, est l’un des plus jeunes membres du conseil d’administration d’Axema.
La faiblesse du dollar pousse les cotations américaines à la hausse malgré des craintes persistantes concernant la politique commerciale de Donald Trump.
Les conditions climatiques chaudes et ensoleillées des derniers jours ont favorisé l’avancée des stades du colza comme des céréales. La pression maladies n’était pas très élevée jusqu’à présent dans les parcelles de blé. Mais avec le retour de la pluie, la vigilance est de rigueur. Il en sera de même pour le colza, vis-à-vis du risque sclérotinia.
Entre hausse démographique et changement climatique, les pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient sont de plus en plus dépendants des importations céréalières pour nourrir leur population. Pour freiner cette tendance, l’Algérie et l’Égypte s’efforcent de développer leur production nationale et investissent dans leurs zones désertiques.
Le constructeur, créé en 2011 dans les Deux-Sèvres, a été repris par Agriculture Nouvelle Génération, société dirigée par un éleveur vendéen, Jean-Paul Rault.
Le président français Emmanuel Macron a prévenu vendredi que le rabaissement des droits de douane américains à 10 % était « une pause fragile » et estimé que l'Europe devait continuer de « mobiliser tous les leviers disponibles pour se protéger », dans un message posté sur X.
L’envolée de la parité eurodollar et un rapport USDA baissier maintiennent les prix du blé en territoire négatif.
De son directeur général à son conseil de déontologie, l'Anses s'inquiète de potentielles « contraintes » ou « risques d'influence » alors que le gouvernement veut imposer des « priorités » dans les travaux de l'agence sanitaire sur les pesticides.
Les prix du colza reculent sous la pression de l’eurodollar et d’une huile de palme tirée à la baisse par le rebond de la production malaisienne.
En cas de coup de blues, grande détresse, ou tout simplement, d'un besoin d’information sur le mal-être, le service Agri ‘Écoute de la MSA accompagne les agriculteurs qui peuvent appeler gratuitement, 24h/24, et de façon anonyme.
Le ministère américain de l'agriculture (USDA) a revu à la hausse ses estimations d'exportations de maïs des États-Unis pour la campagne 2024-25 dans un rapport mensuel qui confirme le manque d'appétit chinois pour les céréales.
Les insectes du stockage se sont acclimatés au silo. Plusieurs études montrent que dans les conditions climatiques françaises, ils ne peuvent pas survivre dans les parcelles. La prolifération rapide de populations en début de campagne de stockage est sans doute liée à des réservoirs d’insectes dissimulés dans les bâtiments et les circuits de manutention, ou encore à la conservation de lots de reports déjà colonisés.
Alors que les chantiers ont démarré depuis quelques semaines, Solène Garson d’Arvalis livre quelques rappels utiles pour l’implantation des pommes de terre.
Les prix du colza décrochent à nouveau, emportés par la lourde chute des cours du brut.
Les prix du blé et du maïs évoluent sur une note prudente dans un marché encore secoué par la politique commerciale américaine.
Dans un contexte d’augmentation de la fréquence et de la violence des aléas climatiques, la réforme de l’assurance récolte avait pour objectif d’inciter un maximum d’agriculteurs à s’assurer. Néanmoins, si ces derniers sont plus nombreux à souscrire un contrat MRC, cette progression reste encore limitée.
Contre les pesticides, plus d'un millier de manifestants guidés par des collectifs scientifiques et écologistes ont marché en fanfare samedi à Paris pour dénoncer la destruction du vivant et les maladies provoquées par l'usage agricole massif de ces produits chimiques.
Le complexe soja a durement creusé ses pertes ce vendredi soir à Chicago, après que Pékin a répliqué avec fermeté aux taxes à l’importation américaines.
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Nicolas Fourdinier ne peut que le constater : sur son secteur de la Côte d’Opale, tous les facteurs causant la propagation des virus par les pucerons augmentent. Alors, faute d’insecticide, il expérimente, il innove et il revoit ses plans de production…
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