Le blé subit de nettes pertes face aux perspectives de production dans l’hémisphère Sud et sous le poids de considérations techniques.
78 % des dirigeants ayant répondu à l’enquête de conjoncture de la Fédération nationale entrepreneurs des territoires (FNEDT) sont pessimistes pour l’avenir. Plus d’un sur deux observe une hausse des impayés auprès de leurs clients céréaliers.
Les prix du colza reculent sous la pression de l’huile de palme et des cours du brut, en l’absence de Chicago.
Le blé et le maïs montent légèrement, dans un marché prudent en l’absence des places de cotations américaines.
Report de cotisations MSA, dégrèvement de taxes foncières, avance d’aides : pour faire face à la moisson 2024 très décevante, les réponses gouvernementales ne sont que « de la poudre aux yeux » selon les lecteurs de Terre-net. « Il nous faut du cash » car les agriculteurs « n’ont plus les moyens de faire face aux coups durs », estiment-ils. Quant à l’assurance récolte…
Trois versions, la X2 polyvalente, la Touring confort et la 6x6 utilitaire, enrichissent la gamme phare du constructeur américain.
Le maïs et le soja maintiennent une petite note de fermeté face à une demande mondiale dynamique et à un climat moins favorable dans la Corn Belt.
La France subit une chute historique de sa production de blé tendre dans un contexte de prix bas, ce qui va fragiliser économiquement les producteurs. Mais l’offre mondiale devrait subvenir à la demande, selon le cabinet Argus media France, et peu d’éléments plaident à court terme pour un rebond des cours.
Les cours du colza hésitent à poursuivre leur ascension, malgré le regain du soja et d’une tension sur l’huile de palme pour maintenir leur mouvement haussier.
Les prix du blé consolident légèrement, tandis que le maïs reste en chemin vers une quatrième séance consécutive de progression.
Dans de nombreux secteurs, Arvalis constate que les conditions météo actuelles sont propices aux levées d’adventices. De quoi optimiser les faux-semis, à condition de respecter quelques règles et pratiques.
Replanter des haies, cultiver en terrasses, boucher des drains... Dans la Drôme, face à des sécheresses de plus en plus fréquentes, des agriculteurs en reviennent à des mesures de bon sens pour « ralentir le cycle de l'eau ».
La récolte historiquement basse de blé tendre en France en 2024 n'entraînera ni pénurie ni hausse spectaculaire des prix de la baguette de pain, rassurent les professionnels, des producteurs aux boulangers.
Des ventes très dynamiques motivent une remontée des cours du maïs et du soja US.
Gaëtan Arnaud allait rejoindre son père sur la ferme familiale quand il a eu son accident de moto. Il avait même commencé son parcours d’installation. Paraplégique, il s’éloigne un temps de l’agriculture et de la région. Au bout de 14 ans, il décide de revenir s’installer sur l’exploitation.
Le marché des terres et prés s’est légèrement rétracté dans la région l’année dernière, mais il reste globalement dynamique. Le prix moyen de l’hectare libre non bâti est de 4 680 €.
Le propriétaire de Fendt, Valtra et Massey Ferguson cède ses cinq marques dans le secteur du stockage et de la protéine à un fonds d’investissement américain, American Industrial Partners (AIP).
L'alliance syndicale agricole majoritaire a proposé jeudi d'imposer aux industriels de l'agroalimentaire de négocier les prix avec les agriculteurs avant d'entamer des discussions avec les supermarchés, une idée soutenue par les distributeurs mais écartée par l'Association nationale des industries alimentaires (Ania). Prix : FNSEA/JA proposent des négociations préalables entre agri et industriels
Les deux syndicats agricoles alertent sur la nécessité de répondre rapidement aux difficultés que rencontrent les agriculteurs, sur le plan conjoncturel comme sur le plan structurel, et travaillent sur le texte de la loi d’orientation agricole qui doit apporter plusieurs réponses à la crise.
Le colza profite du regain du soja US pour se redresser, après le mouvement de consolidation provoqué par StatCan la veille.
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