Les prix du blé tentent de repartir à la hausse sous l’impulsion d’un regain de la demande mondiale, dans un marché cependant encore très prudent.
Les tensions commerciales avec les États-Unis offrent un nouvel argument aux Etats européens favorables au traité de libre-échange avec l'Amérique latine, et la pression monte sur la France.
Le nouvel affaiblissement du dollar Index a permis un rebond des cotations à Chicago.
La faiblesse du dollar a influé cette semaine sur les cours des céréales et oléagineux en Europe, où les prix du blé et du maïs ont reculé tandis que les grains américains résistaient grâce notamment à une meilleure compétitivité à l'export.
L’arrivée de pluies en Russie, en France et aux États-Unis rassure. En Argentine en revanche, les précipitations bloquent les chantiers de récolte de maïs et de soja.
Météo France a publié un rapport intitulé « A quel climat s’adapter selon la Tracc ? » qui présente le futur climat en France. Le point sur les principales évolutions attendues.
Le groupe agroalimentaire Avril a annoncé mercredi un bénéfice net en recul de 36 % en 2024, sous l'effet de la baisse des prix des matières premières, mais se dit « confiant » pour la suite, dans un contexte international incertain lié en particulier aux droits de douane.
Les cours du colza évoluent sans tendance claire, freinés par la parité eurodollar et des rythmes d’importation européens encore soutenus.
Les prix du blé tentent un petit rebond mais restent freinés par la fermeté de l’eurodollar.
Les nappes phréatiques françaises demeurent majoritairement excédentaires à la fin mars, mais des pluies moins abondantes depuis février et le retour de la végétation printanière laissent apparaitre des « incertitudes » sur une éventuelle sécheresse estivale dans certaines régions.
Devenir responsable relations culture chez Cristal Union, c’est le choix qu’a fait Céline Langlois il y a 7 ans et elle ne le regrette pas aujourd’hui. « C’est un métier de terrain, toujours en pleine évolution. On suit la culture de la betterave au rythme des saisons en lien étroit avec les planteurs et jusqu’à l’aboutissement du cycle, la production de sucre. »
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Le 18 février, le Conseil d’État a rejeté la requête d’un collectif de sept associations qui demandait l’annulation des textes mettant en œuvre la nouvelle version du référentiel de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE).
Une conférence a réuni, le 15 avril, les différentes parties prenantes pour échanger autour de la future politique agricole commune, avec pour premier objectif d’exprimer les différentes positions autour de trois thèmes principaux : compétitivité et revenu, gestion des risques et accélération des transitions.
La bioéconomie, qui définit les activités économiques autour des ressources issues de la photosynthèse, peut contribuer à la sécurité alimentaire, à l’équilibre de la balance commerciale et à créer de la valeur et du dynamisme dans les territoires. Plusieurs leviers sont cependant à activer pour que les agriculteurs puissent obtenir un retour positif de leur investissement.
Le rebond du dollar et des conditions climatiques plus favorables dans l’hémisphère Nord ont fait plier la tendance à Chicago.
L'Anses a confirmé, début avril, le maintien des autorisations de mises sur le marché des spécialités à base de prosulfocarbe, dans le cadre de l'actualisation de l'évaluation du risque pour les riverains et personnes présentes.
À partir des données arrêtées au 1er avril, le service statistique du ministère de l'agriculture vient d'actualiser ses estimations de surfaces pour les cultures d'hiver de la récolte 2025 et livre également ses premières prévisions pour les cultures de printemps.
Les cours du colza grimpent encore malgré un complexe oléagineux mal orienté.
Les prix du blé et du maïs évoluent sans tendance claire, tandis que les conditions climatiques s’améliorent nettement dans l’hémisphère Nord.
Si le versement de la pension de retraite d’un exploitant agricole est conditionné à l’arrêt total de son activité, il est cependant autorisé à conserver une « parcelle de subsistance ». Quelles sont les conditions d’exploitation de cette parcelle ?
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