L'instauration de droits de douane de 30 % pour les produits européens entrant aux Etats-Unis aurait des « conséquences économiques désastreuses (...) pour les entreprises agroalimentaires françaises », a réagi l'Association nationale du secteur (Ania), après l'annonce de Donald Trump faite samedi.
Les droits de douane de 30 % annoncés par le président américain Donald Trump sur les produits de l'Union européenne pourraient coûter jusqu'à 2,3 milliards d'euros aux familles américaines et à l'industrie agroalimentaire italienne, a estimé samedi la principale organisation représentant le secteur agricole en Italie.
La Russie a estimé samedi que son accord avec les Nations unies pour faciliter ses exportations de denrées alimentaires et d'engrais, conclu après le début de son offensive en Ukraine, avait échoué en raison des sanctions occidentales.
Elle a poussé les portes des fermes, interrogé des agriculteurs, construit une pièce, puis l'a jouée sur des scènes nationales comme sur des ballots de paille : la compagnie belge Adoc propose depuis plus de dix ans un théâtre engagé pour un modèle agricole alternatif.
C'est un dispositif issue d'une volonté de travailler « main dans la main » avec les agriculteurs pour préserver l'eau, les sols et la biodiversité : dans la métropole de Strasbourg, une trentaine d'exploitants sont rémunérés pour leurs « services environnementaux ».
Le bilan mensuel de l’USDA a provoqué une rapide contraction des prix à Chicago.
Les députés de gauche ont saisi vendredi le Conseil constitutionnel contre la loi agricole dite Duplomb, et sa mesure contestée de réintroduction sous conditions d'un produit phytosanitaire, que les parlementaires estiment incompatible avec la préservation de l'environnement et le droit à la santé.
Après la récolte catastrophique de 2024, la moisson de blé s'annonce « plutôt bonne » en France, un « soulagement » face aux nombreux défis auxquels sont confrontés les agriculteurs dans le premier pays producteur de la céréale du pain en Europe.
Anticipant une baisse de la production aux Etats-Unis, le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a revu vendredi à la baisse ses estimations de stocks de maïs à l'échelle mondiale.
L'accord entre la Russie et les Nations unies visant à faciliter les exportations de denrées alimentaires et d'engrais russes vers les marchés internationaux va prendre fin le 22 juillet, a indiqué l'ONU vendredi.
Arterris et Val de Gascogne rassemblent leurs filiales dédiées à la meunerie en créant l’entité Moulins du Sud, qui mise sur « la proximité, la qualité et la traçabilité » et écrasera chaque année 120 000 t de blé et produira 90 000 t de farine.
Les tensions commerciales pèsent de nouveau sur les prix du colza.
Les prix du blé consolident à la baisse après avoir rapidement grimpé la veille en réaction à une offre russe temporairement resserrée.
Haropa Port, le port fluvio-maritime de l'axe Seine, dresse un « bilan contrasté » de la campagne d’exportations 2024/25 et se prépare à une campagne 2025/26 prometteuse.
Le syndicat agricole a été relaxé mais un des dirigeants de la Coordination rurale dans le Lot-et-Garonne a été condamné à six mois de prison avec sursis, jeudi, pour des dégradations commises l'an dernier lors d'une manifestation.
« Passage en force inacceptable », « remise en cause de l'indépendance de l'Anses » : les députés socialistes et l'ONG Générations Futures ont dénoncé jeudi, dans des communiqués distincts, un décret portant sur l'autorisation des produits phytosanitaires et qui va, selon eux, « imposer des priorités » à l'agence sanitaire nationale.
La Commission européenne doit proposer mercredi la feuille de route budgétaire de l'Union européenne pour la période allant de 2028 à 2034.
Un resserrement de l’offre russe a motivé un bond du blé, tandis que le maïs a échoué à grimper significativement malgré des ventes américaines en vive reprise.
Après une année 2024 vraiment difficile, les résultats sont globalement en hausse cette campagne, même si des disparités subsistent selon les territoires. Au 10 juillet, des agriculteurs de l’Ain, la Charente, la Dordogne, l’Eure et les Vosges livrent leurs retours de cette moisson déjà bien entamée.
L'indice foliaire, mesuré à la floraison du tournesol, est un déterminant essentiel de la capacité d'interception du rayonnement incident par le couvert et donne une idée du potentiel de la culture.
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