Bayer lance Bayfolan Aktivator, un biostimulant autorisé pour toutes les cultures dès la campagne 2025-2026. La firme met en avant « un produit composé d’acides aminés, peptides, acides fulviques et micronutriments, qui optimise le développement racinaire, la fertilité et la résilience au stress hydrique ».
Pour cette moisson 2025, 71 % des agriculteurs déclarent des rendements en orge d'hiver supérieurs à 60 q/ha.
(Série « Matériel, charges, prix… Les agris parlent machinisme », 2/10). Témoignage de Stéphane Gaudoin, 44 ans, installé depuis 2003 à La Brûlâtes (53), en polyculture-élevage sur 98 hectares avec 220 bovins.
Malgré des perspectives de collecte meilleures que l’an dernier, FranceAgriMer prévoit pour l’instant un rebond limité des exportations de blé tendre vers les pays tiers au cours de la campagne de commercialisation 2025/26, et un stock final historiquement élevé. En cause : une demande en berne côté algérien, incertaine côté chinois.
Des conditions météo plus favorables sont finalement annoncées ces quinze prochains jours en Europe.
Les prix du colza ralentissent, après avoir profité d’un regain mesuré du canola et de l’huile de palme.
L'agence sanitaire Anses maintient les « principaux usages du cuivre », notamment utilisé comme fongicide en agriculture biologique, mais durcit ses « conditions d'utilisation » avec « des mesures pour limiter l'exposition des travailleurs et les contaminations des eaux et des sols », a-t-elle annoncé mercredi dans un communiqué.
Les cours du blé cèdent de nouveau du terrain face à une offre 2025 relativement généreuse.
Le Haut-Commissariat à la stratégie et au plan a publié le 15 juillet une note de synthèse, dressant un état des lieux de la possibilité, pour les territoires, de concilier l’ambition du Zéro artificialisation nette (ZAN) avec les autres impératifs attendus de la part des collectivités (logement, activité économique, préservation de l’environnement, cohésion sociale...). La connaissance précise des sols est identifiée comme l’un des leviers pour éclairer les arbitrages.
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Jusqu’à présent les relations entre le GPM, Groupements des producteurs pour Mousline, et l’industriel étaient plutôt au beau fixe. Les trois dernières bonnes campagnes y avaient largement contribué. Mais cette année, la donne a changé et la confiance est rompue.
La Commission européenne va mettre sur la table mercredi sa proposition de budget de 2028 à 2034, donnant le coup d'envoi de deux ans de négociations tendues, notamment sur l'avenir de la politique agricole commune.
Les prix du blé ont été pénalisés par la fermeté du dollar Index et une amélioration des conditions de culture aux États-Unis.
La réglementation européenne impose, depuis le 1er janvier 2025, des systèmes de freinage double ligne sur tous les matériels agricoles neufs. Si l’objectif est louable - renforcer la sécurité -, la mise en œuvre, elle, sème la pagaille. Incompatibilités techniques, absence de solutions transitoires, bricolages risqués : sur le terrain, la filière est à bout de souffle. Derrière cette réforme, c’est près d’un milliard d’euros de matériel qui pourrait être relégué au garage.
Le prix des terres libres est resté stable dans la région l’année passée, dans un marché foncier agricole en repli.
Les prix du colza rebondissent mais restent ralentis par la récolte 2025 et par un complexe soja mal orienté.
Les cours du blé tentent de s’appuyer sur une reprise de la demande pour se redresser.
Le service statistique du ministère de l'agriculture vient de livrer ses premières estimations de rendements en blé tendre pour la récolte 2025. Retrouvez tous les détails dans les cartes interactives ci-dessous.
[Contenu proposé par La Pomme de terre française] Les travaux que Lutosa est en train mener sur son usine flamande de Waregem devraient être terminés à la mi-2026.
Il est possible d'accroître la production agricole pour éradiquer la malnutrition dans le monde en 10 ans tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre de l'agriculture, soulignent la FAO et l'OCDE dans un scénario publié mardi.
Depuis 3 800 ans, le pâturage puis l'agriculture ont eu un fort impact sur les sols alpins, accélérant leur érosion à un rythme bien plus rapide que celui de leur formation naturelle, selon une étude publiée lundi.
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